Solution de la séance « Comédie-Française » :
1.
La
scène
2.
La salle
3. Le rideau
3. Le rideau
4.
La
rampe
Les « feux de la
rampe » étaient les bougies qui éclairaient la scène.
L'expression est restée : quand une jeune personne ambitionne
de travailler dans le domaine du spectacle, on dit qu'elle est
attirée par les feux de la rampe.
5.
L'orchestre
Les places les moins
chères. Au temps de Molière, on s'y tient debout – il n'y a pas
de chaises !
6.
La
corbeille ou
premier balcon
7.
Les
deuxième et troisième balcons
8.
Le
poulailler ou paradis
9.
Les loges d'avant-scène
Ce n'est pas l'endroit d'où l'on voit le mieux
le spectacle mais c'était pourtant les places les plus chères !
Pourquoi ? Parce que, pendant des siècles, les familles riches
et puissantes fréquentaient moins les théâtres pour y écouter des
pièces de théâtre que pour s'y montrer !
Qu'entend-on
juste avant que la pièce ne commence ?
Pour
annoncer que le spectacle va commencer, douze coups de bâton
résonnent sur le plancher de la scène derrière le rideau encore
baissé, neuf courts et trois longs : c'est pourquoi on parle
des « trois coups ».
Tu
remarqueras sur la photo que la salle a la forme d'un fer
à cheval. C'est ce qu'on appelle une
salle à l'italienne.
Ce type de salle a été le modèle dominant des salles de spectacles
pendant au moins trois siècles, un exemple parmi tant d'autres de
l'incroyable rayonnement culturel de l'Italie !
Orthographe !
Tu
as récemment révisé l'accord du participe passé ; mais il
n'y a pas que les participes passé qui se terminent par le son é ou
è. Sauras-tu compléter ce texte ? Tu as le choix entre ez,
é, er, ait et aient.
Rappels :
- -ez est la terminaison verbale de la 2e pers. du pluriel (vous) ;
- -er est une terminaison d'infinitif ; à l'école primaire, on te disait déjà de vérifier en remplaçant par vendre ou faire ou mordre, etc. ;
- -ait et -aient sont des terminaisons de l'imparfait.
J’ai été
baptis...... à l’église Saint-Eustache, sous le prénom de
Jean. Ce n’est qu’à la naissance de mon petit frère que
l’on av...... aussi appel...... Jean que l’on m’a
donn...... le prénom de Jean-Baptiste. Pour nous différenci......
! Vous compren......, quand nous jouions dans la rue, mon frère
et moi, et que nos parents voul...... nous appel...... par la
fenêtre, pour que nous venions mang......, ils ne pouv......
pas cri...... « Jean, Jean, ven...... mang...... ! » C’était
fort peu commode …... Aussi, ils m’ont donn..... le nom de
Jean-Baptiste.
F.
Thyrion, Molière par lui-même, Éditions La
Fontaine, 1995.
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